La Pyrénéenne 4 vallées

Report de mon inscription 2020, la cyclo La Pyrénéenne tombe bien en préparation de l’Alpe d’Huez, à un peu moins de 3 semaines de l’objectif.

Inscris sur la version longue (4 vallées) option « Extreme », soit 190km au départ de St Lary, avec enchainement de la Hourquette d’Ancizan, du col du Tourmalet (par St Marie de Campan), du col d’Aspin pour revenir sur St Lary, et pour finir le fameux col du Portet en option, si jamais il reste des jambes…

Une découverte du col du Portet qui sera (ré) ouvert exceptionnellement l’avant veille de la cyclo, les coureurs du Tour le franchiront quelques jours plus tard. Une demi découverte cependant car je connaissais déjà la 1ère partie (terrible !) jusqu’à Espiaube, commune avec l’ascension du Pla d’Adet.

Départ prudent, bien longtemps que je ne me suis pas retrouvé au milieu de plusieurs centaines de coureurs et surtout, par expérience, je me méfie de la 1ère ascension de la Hourquette. Je monte donc à mon rythme sans m’affoler, je ne suis pas à l’aise et vois pas mal de cycliste passer. S’en suit la grosse descente technique sur Campan, là je me fait plaisir ;-)

J’enchaine avec le Tourmalet, là aussi à mon rythme, là aussi ça passe, mais sans être « facile ». Grosse descente à nouveau sur Luz et je me retrouve esseulé jusqu’à Argelès, mais retrouve un bon groupe d’une 15aine de coureur assez homogène, ensuite. On restera groupé et plutôt bien organisé sur toute la partie moins accidentée qui nous amène à Bagnères, puis sur le col d’Aspin ou cela s’étirera.

Arrivé à St Lary (fin de la 4 vallées classique) je n’ai plus de jambes, une petite pause et j’entame tout de même l’ascension du Portet, en mode « il faut essayer », mais pas de miracle, c’est un calvaire ; je suis à l’arrêt dans les pentes à plus de 10%.

Je me fixe malgré tout pour objectif de pousser (presque littéralement)  jusqu’au petit village de Soulan mais n’irais pas plus loin ; plus de jus !

Bilan ; un peu plus de 180km, plus de 4000m de D+ avalé, et près de 7h20 d’effort. Une belle journée de vélo en montagne ;-)

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Triathlon de Bordeaux Lac – Dist M

Sur liste d’attente sur le triathlon de l’Alpe d’huez (dist L) depuis l’année dernière (épreuve finalement annulée en 2020), je décroche un dossard cette année, fin Mai, et en fait mon objectif 2021.

Avec un calendrier triathlon qui a du mal à se mettre en place à cette époque, je choisis de m’inscrire sur le triathlon de Bx Lac en préparation, ce sera le seul avant l’Alpe fin juillet.

Au programme 1500m de natation avec une sortie à l’australienne, 40km de vélo rigoureusement plats, composés de boucles entre ronds points, draft autorisé et vélos CLM prohibés, puis 10km de CAP en 4 boucles pour terminer.

Rien de super excitant donc, mais il faut bien ça pour reprendre un peu les reflexes. Pour couronner le tout il fait un temps horrible ce jour là, l’envie n’est décidément pas au rendez vous.

Un départ natation sous la pluie, pas motivé du tout donc et sans surprise je sors une natation très moyenne. Pas de sensation, il faut dire qu’on n’a pas beaucoup pu s’entrainer ces derniers mois…

Sur le vélo, stratégiquement il faut se mettre dans un groupe le plus homogène possible et s’entendre sur des relais. Pas simple puisque le circuit est court et qu’on va reprendre du monde à chaque tour, et c’est bien connu les triathlètes ne savent pas rouler en groupe, à fortiori sur un circuit avec beaucoup de relances et glissant.

Je sors seul de T1, ne vois pas grand monde devant, et Flo à 50m derrière, connaissant ses qualités à vélo, je l’attends un peu et nous ferons tout le vélo ensemble et sous la flotte. Nous ne parviendrons malheureusement pas à reprendre de groupe.

Après une T2 disons laborieuse ; je ne trouve pas mon emplacement, les Nike fluo sont sous un sac pour les protéger, et enfiler des chaussettes tout mouillé relève du défi.

Malgré mes craintes, je fais un 10km plutôt solide, à mon niveau du moment, sans trop souffrir. Je n’ai pas pu m’entrainer correctement, sujet à des douleurs à la cheville gauche.

Stats : 2h15, 25ème scratch / nat : 26’29″ / vélo : 1h06 / cap : 39’49″

Résultats détaillés M.

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Nocturne de Bouliac

Autant je n’ai pas loupé beaucoup d’édition du trail du téléthon de Bouliac, et j’y serai cette année encore d’ailleurs, mais c’est ma première participation à ce 10km sur route.

Un 10km pas vraiment plat donc, en 2 boucles.

Je prends un départ prudent, cela fait 8 mois que je n’ai pas mis un dossard de course à pied, et fait l’effort de faire le 1er tour « en reco », en en gardant sous le pied.

Et ça paye ! Je suis en mesure de lâcher les chevaux sur le 2eme tour, le circuit est sélectif et je reprends du monde. Pour en terminer en 39’20″, 21eme scratch et premier Master 2 ; je valide !

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Cyclo La Périgordine

1er dossard de la saison, il était temps ! Je m’inscris quelques jours plus tôt à cette cyclosportive sans réelle préparation, et aucune course donc, depuis le 19 septembre 2020 !

Le but est de mettre un dossard, de retrouver du monde et de découvrir ce coin de la Dordogne que je ne connais qu’à VTT ; départ et arrivée de Montignac-Lascaux.

Et je n’ai pas été déçu ! On passe un super we en gîte, la région est magnifique, le temps est au rendez vous ; grand ciel bleu et 35°.

Histoire de ne pas faire le déplacement pour rien, toujours gourmand quand il s’agit de virée à vélo, je me suis inscrit sur la version « Mammouth », soit 195km, avec une option au 120eme kil pour couper et gagner 30km.

Un départ pas trop nerveux (vu le kilométrage), mais bon rythme tout de même, et j’ai du mal à rester dans la roue des premiers dès que ça grimpe. Et ça ne fait que ça ! Pas de plat dans le coin, les routes et les décors sont magnifiques ; un régal.

Dans les 3 plus grosses ascensions, précédant la séparation des circuits, je ne parviens pas à rester dans la roue du groupe de tête, heureusement je ne suis pas le seul, et on parvient à chaque fois à recoller. Je suis donc encore dans le coup à la bifurcation des parcours (les 2 grandes distances sont parties ensembles), mais je suis à sec, plus rien dans les bidons et je suis contraint de faire un stop pour ravitailler.

Quand je repars sur le parcours long, je me retrouve tout seul !  A se demander s’ils sont tous partis sur le 165.

Une seconde course commence pour moi ; tenir un bon rythme et rallier l’arrivée, tout seul, ça change tout.

Au final je termine avec 198km au compteur, un peu moins de 6h de selle et satisfait car j’ai réussi à tenir mon rythme dans la 2ème partie en solo.

Résultats complets ici, 21ème scratch et 12eme de ma caté.

Pour la petite histoire, ce n’est pas la 1ère fois que je participais à cette cyclo, j’avais pris le départ en 2012, de Bergerac, sur un circuit complètement différent.

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What’s up 1#20

Et aussi quelques dossards en triathlon ;-)

Alors que beaucoup étaient déjà complets en début d’année, d’ailleurs sur liste d’attente sur l’Alpes d’Huez, mon objectif cette année, lui aussi annulé en raison de la crise sanitaire, le seul triathlon auquel j’avais réussi à m’inscrire, le L de Royan (17), a lui été maintenu le 12 septembre.

En préparation, j’ai pu participer le 5 septembre au M du FrenchMan series de Casteljaloux (47).

Une mise en jambe nécessaire et assez frustrante à chaud, avec l’impression d’être dans le dur sur les 3 disciplines, notamment sur le vélo où je n’ai pas été à l’aise.

En regardant les résultats et en comparant avec d’autres M du même type, je suis finalement à mon niveau en natation et à vélo (même si je dois pouvoir faire mieux) et je fais mon meilleur temps sur le 10km à pied, avec une boucle pas si facile.

Une découverte sympathique que ce triathlon de Casteljaloux en version vitaminée par le FrenchMan où je réalise une course consistante malgré le manque de repère.

Je termine 37éme scratch et 3ème catégorie en 2h14’19″. Natation ; 25’25″ vélo ; 1h04’40″ et cap ; 41’58″.

Le we suivant j’enchaine donc sur le L de Royan, une 2eme expérience après celle de 2017, pour le moins arrosée.

Cette fois ci le temps est quasi idéal, avec le soleil et le vent côtier auquel il faut bien s’attendre en bord de mer. Un vent qui a joué son rôle sur la 2ème boucle vélo où le retour a été très compliqué, il a fallu être fort mentalement !

La natation a été un peu particulière dans la mesure ou nous avons eu droit a un départ par catégorie d’âge. Résultat je me suis élancé près de 15min après le 1er groupe et je me suis retrouvé dans la mêlée des « moins bons » nageurs des caté parties devant… On peut dire que l’objectif d’écrémer le flux d’athlètes n’a pas été vraiment atteint.

Le vélo se passe pas trop mal sur les 3 premiers quarts mais se complique franchement, comme évoqué plus haut, avec la fatigue et le vent, sur le retour de la 2ème boucle.

Retour à T2 pour entamer le semi marathon qui s’annonce compliqué, les sensations ne sont pas là et je (re) découvre un parcours pas facile, avec du dénivelé et de nombreux passages dans le sable, cette fois-ci bien mou !
Comme il fallait s’y attendre j’ai dû puiser dans les dernières réserves mentales pour aller au bout.

Les résultats détaillées ;

En comparant avec l’édition 2017, sur le même parcours donc mais avec des conditions climatiques complètement différentes, je mets 5min de mieux, avec certes 15min gagnées sur la natation (normal il y avait 2500m en 2017 !), mais je perds 15min sur le semi marathon. En conclusion je gagne ces 5mins sur le vélo mais la cap derrière est cata… A méditer.

Crédit photo JL Bergougnoux

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CX Times – saison 19/20

Retour sur la saison de cyclocross qui vient de se terminer, avec cette année une nouveauté importante puisque suite au changement de la réglementation interdisant les VTT, je me suis équipé (un peu à l’arrache) d’un cyclocross.

Evidement je l’ai monté moi même sur la base d’un cadre Scott Addict CX RC et de roues Topwheels de VTT (29″) que je possédais déjà.

C’est parti  ;

Le tout monté en mono Ultégra 11v Disc.

Le pédalier ne sera pas arrivé pour le 1er cx d’ouverture et je monterai le pédalier du VTT (en 32 dents donc) ;

2 sorties pour valider les réglages et je m’aligne sur l’ouverture de la saison à Montussan (13/10/19).

Circuit sec et rapide, contre toute attente, parti assez loin suite à un mauvais départ, je remonte et parviens à arracher un belle 2nde place (en 2nde caté).

Après cela se corse, je monte le pédalier Force et choisis un plateau oval de 42 dents, cassette bricolée en 11*31 et sur les circuits suivants très gras et lents, c’est la cata. De plus je suis monté en pneus tubeless peu cramponnés et je n’ose pas au début descendre la pression.

Résultat ; abandon à Salleboeuf très technique et boueux, inexistant à Frontenac et au départemental du Porge.

Ensuite ça va mieux, je monte un plateau de 40 dents et baisse la pression des pneus en dessous de 2bars.

Je termine à la 3ème place à St André de Cubzac :

Et 5ème à Cambes, pour clôturer la saison, sur un circuit très physique et boueux.

Une saison avec des hauts et des bas pour apprendre à me servir d’un vélo cyclocross ;-)

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Triathlon de Biscarosse – 22/09

Une chouette découverte que ce triathlon de Biscarosse, format M !

1500m dans le lac de Sanguinet pas facile, facile, je m’extirpe en 31min, mais il reste encore 200m à parcourir avec de l’eau en dessous des genoux pour rallier l’aire de transition.

Le moment où je me rends compte qu’il me reste encore du chemin à parcourir avant d’enfourcher mon vélo !

Je fais les 2 boucles CLM « sous l’eau » et pratiquement seul au monde en 1h05. Les sensations sont très bonnes, la boucle est variée avec de 2 bonnes bosses à avaler à chaque fois.

A pied je pars bon rythme, sans m’emballer, et trouve le second souffle à mi parcours pour finir fort. Le parcours est sélectif sur une piste cyclable tout en bosses et courbes.

Un final au sprint en mode Usain Bolt pour finir les 10km en 48min, sans doute mon meilleur temps CAP sur triathlon format M.

Les résultats détaillés ici : bisca_dim_19 (1).

Un beau triathlon, avec de bonnes sensations pour finir la saison ; à refaire !

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Duathlon de Salles – 8/09

Un nouveau duathlon, celui de Salles suite à son changement de format de raid du Champion à Duathon ; 5km de trail, 42km en CLM sur route et 3km semi trail pour finir.

La 1ère partie trail n’est pas facile, dans le sable, et c’est pourtant là qu’il faut faire les écarts, devant ça part très vite, je ne peux pas suivre, mais mon rythme est bon. Je termine la boucle à la 7ème place.

J’enchaîne bien sur le vélo et me retrouve seul pendant 20km, malheureusement derrière un groupe d’une bonne 10aine de coureur s’est formé et je ne peux résister seul à leur retour.

On terminera comme ça, pas faute d’avoir essayé de m’extraire plusieurs fois, mais le profil linéaire ne favorise pas les échappées.

J’enchaîne à nouveau rapidement pour la dernière petite boucle à pied, où je m’arrache pour tenter de rattraper le concurrent qui me précède, en vain.

Je termine à la 6ème place, une course super sympa avec les copains et avec des sensations qui font plaisirs !

Les résultats ici.

Crédit photo ; Jonathan photographie sportive

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Tricross des terres blanches – 31/08

Un peu plus de 2 semaines après Embrun, je me suis remis progressivement sur le court et l’intense pour préparer ce tricross que j’affectionne, avec pour objectif d’effacer les regrets de l’année dernière.

Parcours inchangé par rapport à l’année dernière, avec un temps couvert et pluvieux cette fois et un beau plateau !

Je fais une natation correcte, un bon VTT et je m’arrache bien en trail, mon seul (petit) regret et de ne pas avoir fait de transitions rapides, avec notamment la T2 ou je suis obligé de mettre des chaussettes, faute de chaussures trail adaptées pieds nus. Sur ce format court, cela me coûte au moins une place sur le podium de ma catégorie… Je termine 8ème sratch et 4ème caté.

Satisfait malgré tout, j’ai amélioré sensiblement mes chronos sur les 3 disciplines ; près de 10min de mieux !

L’année prochaine ce tricross deviendra Xterra Nouvelle Aquitaine.

Résultats ici.

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IAM Embrunman

3h30 jeudi 15 aout 2019, la journée démarre, une journée pas comme les autres ; le début d’une belle aventure !

Petit déjeuner quasi habituel, un peu plus copieux, on termine de tout préparer avec Coco, il faut être au parc à 4h45. Dans le parc c’est déjà l’effervescence, tout le monde peaufine son matériel, la tension est palpable, l’ambiance électrique.

Au final je n’ai pas eu le temps de m’échauffer dans l’eau, les filles s’élancent à 5h45, les hommes 15min plus tard, la pleine lune vient tout juste de s’effacer dans le plan d’eau, c’est magique.

Je me place au beau milieu de plus de 1000 triathlètes, en 3ème rideau. On m’avait dit ; « tu verras la natation sur longue distance c’est plus cool, ça va moins vite ». Pourtant devant moi quand le décompte démarre les gars sont dans les starting blocks, à tel point que l’athlète devant moi chute en courant sur le gravier qui nous sépare du lac, entraînant avec lui l’athlète qui me précède, j’évite la chute de justesse en sautant par dessus !

Dans l’eau ça tabasse pas mal pendant quasi tout le 1er tour (~1900m), je prends notamment un bon coup sur le pied ! Le soleil n’a pas encore fait son apparition et je navigue en suivant le mouvement, je n’y vois pas grand chose, l’impression d’avoir de la buée sur les lunettes… Sur le 2ème tour ça va mieux, je commence à y voir, seule une douleur de fatigue à mon bras droit m’alerte.

Sortie de l’eau, beaucoup de monde, l’ambiance est incroyable ! Je suis dans ma bulle, transition assez rapide, j’enfile une paire de chaussettes et un maillot aux poches pré chargées et c’est parti pour 180km de vélo !

Dès les 1ers kilomètres ça monte sévère, on oublie le grand plateau. j’ai tout de suite des crampes d’estomac qui me gênent… Je fais un 1er arrêt pipi au 15ème kil, pour voir si cela suffit, mais non. Je compose mais j’analyse que je ne vais pas pouvoir assurer dans cet état sur 180km. Autour du 70ème kilomètre je décide de faire une pause technique en prenant le temps qu’il faut… Ce sera la bonne décision car quelques kilomètres après, je retrouve enfin des sensations normales et peux entamer les pentes de l’Izoard dans de bonnes conditions.

De fait l’Izoard passe bien, je fais en sorte de ne pas me mettre dans le rouge, je me souviens de ce que m’a rapporté Coco ; « l’Embrunman commence vraiment en haut de l’Izoard », il reste alors 100km de vélo.

Le début de la descente est technique et rapide, on se retrouve très vite en bas à Briançon où on entame le retour vers Embrun, avec un ennemi terrible ; le vent ! En effet celui-ci souffle très régulièrement de face sur le parcours retour.

La fin du vélo n’est donc pas du tout une promenade, d’autant qu’il faut passer encore 2 belles difficultés ; la montée de Palon au 145ème kil et la côte de Chalvet au 179ème kil.

Le Palon passe bien, je ne suis pas trop entamé, les spectateurs très présents boostent le moral, la côte du Chalvet en revanche est plus compliquée, avec en tête le marathon dans quelques kilomètres.

Reste la partie que j’appréhendais le plus ; le marathon, en 3 boucles de 14 kilomètres. La 1ère boucle passe bien, je suis sur une bonne allure, l’ambiance, notamment en ville, est super, le tracé est varié ; la bonne surprise. Dans la 2ème boucle ça se complique un peu, mais je conserve un super moral. Chris me retrouve à la fin de cette boucle et si les douleurs sont de plus en plus présentes, je n’ai plus aucun doute d’aller au bout. Je savoure la dernière boucle et termine avec les frissons, en 12h34 !

Je prends alors conscience du truc incroyable que je viens d’accomplir et de tout le chemin qu’il a fallu parcourir pour y arriver, et j’en tire une grande satisfaction !

Les résultats détaillés ici.

Crédit photo ; Jean Luc Bergougnoux

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