Et aussi quelques dossards en triathlon
Alors que beaucoup étaient déjà complets en début d’année, d’ailleurs sur liste d’attente sur l’Alpes d’Huez, mon objectif cette année, lui aussi annulé en raison de la crise sanitaire, le seul triathlon auquel j’avais réussi à m’inscrire, le L de Royan (17), a lui été maintenu le 12 septembre.
En préparation, j’ai pu participer le 5 septembre au M du FrenchMan series de Casteljaloux (47).
Une mise en jambe nécessaire et assez frustrante à chaud, avec l’impression d’être dans le dur sur les 3 disciplines, notamment sur le vélo où je n’ai pas été à l’aise.
En regardant les résultats et en comparant avec d’autres M du même type, je suis finalement à mon niveau en natation et à vélo (même si je dois pouvoir faire mieux) et je fais mon meilleur temps sur le 10km à pied, avec une boucle pas si facile.
Une découverte sympathique que ce triathlon de Casteljaloux en version vitaminée par le FrenchMan où je réalise une course consistante malgré le manque de repère.
Je termine 37éme scratch et 3ème catégorie en 2h14’19″. Natation ; 25’25″ vélo ; 1h04’40″ et cap ; 41’58″.
Le we suivant j’enchaine donc sur le L de Royan, une 2eme expérience après celle de 2017, pour le moins arrosée.
Cette fois ci le temps est quasi idéal, avec le soleil et le vent côtier auquel il faut bien s’attendre en bord de mer. Un vent qui a joué son rôle sur la 2ème boucle vélo où le retour a été très compliqué, il a fallu être fort mentalement !
La natation a été un peu particulière dans la mesure ou nous avons eu droit a un départ par catégorie d’âge. Résultat je me suis élancé près de 15min après le 1er groupe et je me suis retrouvé dans la mêlée des « moins bons » nageurs des caté parties devant… On peut dire que l’objectif d’écrémer le flux d’athlètes n’a pas été vraiment atteint.
Le vélo se passe pas trop mal sur les 3 premiers quarts mais se complique franchement, comme évoqué plus haut, avec la fatigue et le vent, sur le retour de la 2ème boucle.
Retour à T2 pour entamer le semi marathon qui s’annonce compliqué, les sensations ne sont pas là et je (re) découvre un parcours pas facile, avec du dénivelé et de nombreux passages dans le sable, cette fois-ci bien mou !
Comme il fallait s’y attendre j’ai dû puiser dans les dernières réserves mentales pour aller au bout.
Les résultats détaillées ;
En comparant avec l’édition 2017, sur le même parcours donc mais avec des conditions climatiques complètement différentes, je mets 5min de mieux, avec certes 15min gagnées sur la natation (normal il y avait 2500m en 2017 !), mais je perds 15min sur le semi marathon. En conclusion je gagne ces 5mins sur le vélo mais la cap derrière est cata… A méditer.
Crédit photo JL Bergougnoux